L’appartement parisien de Claude François remis en vente, plus de 45 ans après sa disparition

Advertisement
Advertisement

L’appartement parisien de Claude François remis en vente, plus de 45 ans après sa disparition

L’ancienne résidence de Claude François, interprète de « Comme d’habitude », est à nouveau disponible sur le marché immobilier pour un montant proche d’un million d’euros.

Un bien chargé d’histoire

Situé dans le XVIe arrondissement de Paris, cet appartement emblématique offre une vue panoramique sur la capitale. D’une superficie de 72 m², il se trouve au 8ᵉ étage d’un immeuble datant de 1961, boulevard Exelmans, et dispose de deux balcons. Mis en vente au prix de 950 000 euros par l’agence Architecture de Collection, ce logement comprend une chambre et une salle de bains. Il fut la dernière résidence principale de l’artiste jusqu’à son décès tragique en 1978.

Un toit-terrasse unique et des rénovations récentes

Le bien inclut également un toit-terrasse privatif de 62 m² situé au 10ᵉ étage, offrant une vue exceptionnelle à 360° sur les monuments emblématiques de Paris tels que la tour Eiffel, le Sacré-Cœur, le front de Seine et les forêts environnantes. L’appartement a été rénové à plusieurs reprises depuis la disparition de l’artiste, avec notamment des modifications apportées aux emplacements de la cuisine et de la salle de bains. La pièce de vie traversante, quant à elle, continue de séduire par son panorama sur la capitale. Cependant, des travaux restent nécessaires, précise l’agence immobilière.

Un lieu lié à la légende et à la tragédie

Ce logement est indissociable de la renommée de Claude François et de sa fin dramatique. Le 11 mars 1978, peu avant 15 heures, le chanteur est décédé accidentellement dans cet appartement à la suite d’une électrocution, alors qu’il tentait de replacer une applique murale dans sa salle de bain. Une plaque commémorative orne désormais la façade de l’immeuble, et une place Claude-François a été inaugurée en 1999 à proximité, rendant hommage à l’interprète de « Magnolias Forever »

source:le Parisien

Advertisement

Commentaires